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Deux alumni remportent le Prix Maisons Pariente 2025


actualite

23/06/2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Paesina par Thomas Noui - 1e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Wrap par Clément Rouvier - 2e Prix Maisons Pariente 2025

Depuis sa création, le groupe hôtelier Maisons Pariente, souhaite célébrer et promouvoir la scène artistique émergente en France.

Pour ce faire, cette année, à l’occasion du 5e anniversaire du groupe, Maisons Pariente a lancé un nouveau concours symbolisant l’engagement de la famille Pariente envers la création artistique contemporaine.

Un appel à manifestation d’intérêt qui a raisonné au cœur de l’école Camondo. Parmi les 10 projets finalistes, 8 étaient en effet portés par des étudiants ou alumni de l’école.

La cérémonie de remise des prix a récompensé deux camondiens qui se sont hissés sur les deux premières marches du podium.

Thomas Noui, grand gagnant et alumni 2021, a présenté Paesina, une œuvre hybride, dialogue entre une pierre paesine et un algorithme d’IA, qui mêle illusion visuelle et artisanat. L’image générée devient un bas-relief en bois, sculpté puis teinté, interrogeant notre manière de rêver à travers la matière et la machine.

Clément Rouvier, alumni 2022, a quant à lui proposé Wrap, une tapisserie ancienne détournée pour créer un relief déstructuré. Les scènes pastorales sont fragmentées et réassemblées sur une structure en zigzag, créant une image mouvante. Le spectateur doit se déplacer pour recomposer le récit. Le rêve naît ici du trouble visuel et de l’altération du souvenir, dans un jeu subtil entre figuration, abstraction et mémoire recomposée.

Les résultats de ce concours soulignent l’importance que l’école Camondo accorde au développement de la vision créative de ses étudiants. Au-delà des questions techniques inhérentes au métier, l’école forme avant tout des artistes qui questionnent en permanence leur environnement afin de nourrir les différents supports de leurs créations.

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